L’ACIB s’engage activement en faveur du bilinguisme dans le canton de Berne, en tant que pont entre les cultures, les religions et les communautés. Grâce au soutien du canton, le site web a été traduit en français afin d’inclure également les membres francophones. Le bilinguisme est synonyme d’ouverture, d’égalité et de respect mutuel, des valeurs qui constituent le fondement d’une Berne diversifiée et unie.

L’Association cantonale islamique de Berne (ACIB) constate avec préoccupation que le reportage actuel de la Rundschau sur la vente d’un hôtel au bord du lac de Thoune risque de renforcer certains stéréotypes et de contribuer à une polarisation de la société. Alors que dans une économie de marché libre, les acheteurs peuvent définir leur offre de manière indépendante, on peut se demander si des cas comparables impliquant des propriétaires suisses auraient été rapportés de la même manière.

L’Association cantonale islamique de Berne (ACIB) se dit préoccupée par le cas survenu à Worb, où une enseignante s’est vu refuser la poursuite de son emploi en raison de son voile. Une réglementation interdisant les symboles religieux dans les écoles publiques peut s’appliquer formellement à toutes et à tous – mais elle conduit, dans les faits, à exclure du corps enseignant des personnes pratiquant leur religion.
Au lieu de renforcer la diversité, une telle pratique écarte les identités religieuses de l’espace public et complique la participation égale à la vie professionnelle. Cela ne concerne pas uniquement les musulmanes et musulmans, mais également les membres de toutes les confessions.
L’IKB s’oppose donc clairement à toute extension de cette réglementation. C’est un exemple qui ne doit pas faire école. Il existe de meilleures voies – des voies qui évitent l’exclusion et qui peuvent être développées dans le cadre d’un dialogue sociétal.

L’Association cantonale islamique de Berne (ACIB) est profondément touchée par la catastrophe naturelle qui a frappé le village valaisan de Blatten. En tant que membre de la Fédération des organisations islamiques de Suisse (FOIS), nous sommes pleinement solidaires des personnes concernées. Nous appelons à soutenir activement les actions humanitaires en cours, en particulier celles de Caritas Suisse.

Pour environ 38’500 personnes dans le canton de Berne, une journée très spéciale commence aujourd’hui.

C’est le jour de la fête de la Rupture du Jeûne, également connue sous le nom d’Aïd el-Fitr ou fête du Sucre, qui marque la fin du mois sacré du Jeûne du Ramadan. Outre la prière du matin et un sermon, on échange des vœux de fête, on distribue des cadeaux et entreprend des activités sociales en commun.

L’Association cantonale islamique de Berne adresse à tous les musulmans du canton de Berne ses vœux les plus chaleureux pour une fête de l’Aïd el-Fitr bénie et joyeuse.

Aïd Mubarak!

Un détenu critique le fait que la Suisse ne s’occupe pas assez des prisonniers musulmans. L’imam Muris Begovic et d’autres experts lui donnent raison. Des voix de l’UDC estiment que l’aumônerie chrétienne est suffisante.

Le corps: enveloppé dans un linceul blanc. La pierre tombale: orientée vers la Mecque. L’homme qui s’adresse aux proches: un imam.

Aussi étranges que puissent paraître les rituels des enterrements musulmans, ils font depuis longtemps partie de la normalité à Berne.

Une étude de l’Université de Fribourg sur le racisme anti-musulman montre qu’environ un tiers des musulmans en Suisse ont déjà été victimes d’hostilité. Le nombre de cas signalés reste toutefois faible.

Mardi dernier, le Conseiller fédéral Beat Jans a participé à la rupture du Jeûne de la Fédération des organisations islamiques de Suisse (FOIS) au Schweizerhof de Berne. Parmi de nombreux invités, des représentants des religions chrétienne et juive, ainsi que de l’Association cantonale islamique de Berne (ACIB) et d’autres communautés musulmanes étaient présents.

Une étude de l’Université de Fribourg sur le racisme antimusulman montre qu’environ un tiers des musulmanes et musulmans en Suisse ont déjà été victimes d’hostilités. Néanmoins, le nombre de cas signalés est faible.